Christophe, der eigentlich Daniel Bevilacqua hiess, wurde weltberühmt durch das Chanson „Aline“. Das Lied war einer der grössten Hits der Sechzigerjahre. Weitere Erfolge waren „Les marionettes“ (1965) (siehe unten) und „Les mots bleus“ (1975).
Laut der Zeitung „Le Parisien“ war Christophe mit dem Corona-Virus infiziert. Seine Frau bestätigt das jedoch nicht, sie betont, er sei an einem Lungenemphysem gestorben.
Der französische Kulturminister Franck Riester sagte, mit dem Tod von Christophe verliere das französische Chanson „einen Teil seiner Seele“.
Der französische Sänger Jean-Michel Jarre, der eng mit Christophe befreundet war und den Text zu Mots bleus geschrieben hatte, sagte: „C’était plus qu’un chanteur, c’était un couturier de la chanson.“ – „On ne peut pas lui dire au revoir à cause de ce putain de virus.“
Und woher stammt der Name „Aline“? Nach Angaben des französischen Musikkritikers Daniel Ichbiah handelt es sich um Aline Latanowicz, eine hübsche Assistentin eines Zahnarztes, bei dem er in Behandlung war.
Aline
J'avais dessiné
Sur le sable
Son doux visage
Qui me souriait
Puis il a plu
Sur cette plage
Dans cet orage
Elle a disparu
Et j’ai crié, crié
Aline
Pour qu’elle revienne
Et j’ai pleuré, pleuré
Oh! J’avais trop de peine
Je me suis assis
Auprès de son âme
Mais la belle dame
S’était enfuie
Je l’ai cherchée
Sans plus y croire
Et sans un espoir
Pour me guider
Et j’ai crié, crié
Aline
Pour qu'elle revienne
Et j’ai pleuré, pleuré
Oh! J'avais trop de peine
Je n’ai gardé
Que ce doux visage
Comme une épave
Sur le sable …